La découverte d'un nouveau monde (Enora & Sorn)

J'avais quitté depuis peu Maeva dans la foret de Bréchéliant chez une de ses connaissances dont l'aura ne me plaisait pas particulièrement.
La quiétude la paix semblait planer dans l'air et pour ma part une sorte de malaise que je ne saurais expliquer. Je n'avais pas ma place en ce lieu tous simplement.
J'avais fait alors mes adieux à Maeva pour reprendre ma route là où je l'avais laissé, mais sans y avoir gagné certaines informations mais aussi peu être une alliée dans le futur ou plus ! Mais seul le destin saurait me le dire .
C'était un sentiment étrange que tout cela alors que mes pas m'éloigner de ce lieu que je n'arrivais pas à décrire avec ce simple mot même dans ma propre langue qui était pourtant une des langues des plus raffinées.
C'était là encore mon point de vue bien peu objectif en la matière.

Mes pas s'étaient ainsi dirigés naturellement vers le sud de ce bois prenant garde à la mousse des arbres pour ne pas tourner en rond dans ce monde verdoyant. Le bruit des oiseaux était assourdissant maintenant que je n'avais plus Maeva pour me tenir compagnie et me distraire de ce boucan de tous les diables.
J'en avais des sueurs froides à ne pas y comprendre si ce n'est un énervement qui brûler au fond de moi...

Heureusement pour moi, cela allait en s'estompant alors que je me rapprocher de la lisière de la forêt, j'allais découvrir sous un nouveau jour le monde des humains mais j'étais loin de m'attendre à cela.
Une lumière bien plus vive me brûla les yeux alors que j'arrivais aux abords de la forêt. Je ne savais encore que nous étions en tous déjà d'après-midi et que le soleil était à son zénith.
Celui-ci dispenser alors tous ses bienfait à la nature reconnaissance apportant lumière chaleur à ce monde de la surface dans un magnifique ciel bleu que je ne devinais pas encore tant l'éclat était trop intense pour moi.

Je ne savais encore que nous étions en tous déjà d'après-midi et que le soleil était à son zénith.

En face de moi, c'était le néant un espace vide à perte de vue constituer seulement d'une plaine qui ne semblait ne jamais avoir de fin. Un long frisson me parcourut le corps alors que je sentais un froid glacial me tétaniser le corps.
Je n'avais qu'une envie reculé pour retrouver le couvert de la forêt, mais je sentais que mon corps ne voulait pas me répondre alors qu'une sensation d'étourdissement m'envahissait. Étais-je en train de paniquer? Je perdais pied ....

C'est avec grandes difficultés que je pus retrouver un couvert végétal pour m'agripper à un arbre. Le sol tournait autour de moi alors que mes oreilles bourdonnaient.

*Qu'est ce qui m'arrive ? *

Je finis par m'asseoir à même le sol, dos contre l'arbre tous en essayant de reprendre ma respiration.

Je n'avais rien de particulier à faire ce jour-là, mais le temps était si splendide que je trouvais dommage de ne pas en profiter. Je décidais donc d'aller cueillir quelques herbes, me souvenant qu'il me fallait renouveler mon stock de houx. Aussi, avais-je choisis de me promener un peu, de prendre le temps d'apprécier les bois, leur côté paisible qui grouillait pourtant de vie. Je savais où aller pour faire le plein d'herbe sacrée. L'arbre de Tanaris poussant toujours près d'un chêne auquel il adorait s'accrocher, comme deux amoureux inséparables. Cela me rappelait toujours la légende du chevalier solaire et du chevalier lunaire, tous deux respectivement représentés par le chêne et le houx.

Je me dirigeais donc, tout naturellement, vers les deux ennemis amoureux dont quelques couples poussaient non loin de l'orée de la forêt. Je marchais sans bruit, afin de ne surtout pas troubler la quiétude des animaux peuplant les lieux, ou bien les représentant du petit peuple, qui détestaient tant être surpris. J'étais l'intruse ici, quand bien même vivais-je moi aussi sous ces verdoyantes frondaisons. Il me fallait donc me montrer particulièrement discrète et surtout respectueuse, autant des lieux que de ses habitants.

Le soleil perçait vivement à travers les feuilles, ce qui signifiait que nous en étions à la mi-journée. Les oiseaux chantaient joyeusement au dessus de ma tête. Point de messe basse chez les volatiles, ils savent que leurs secrets seront bien gardés par leurs congénères. Ils osent donc crier, laisser leur voix se mêler aux autres pour se muer en une sorte de mélodie que je trouvais des plus apaisante. J'aimais tant les écouter, chaque fois mon cœur s'emplissait d'une joie particulière qui apaisait grandement ma solitude. Il m'arrivait bien souvent de m'allonger sur un tapis de mousse en fermant les yeux, simplement pour profiter du spectacle mélodieux qu'ils m'offraient sans le vouloir. Parfois, je m'amusais à essayer de coller des mots, des intentions sur leurs pépiements, comme si cela pouvait me permettre d'appartenir à leur monde, ne serait-ce qu'un instant, aussi bref soit-il. Comme j'aurais aimé jouir de leur insouciance...

Tout en les écoutant, j'évoluais à pas feutré, faisant bien attention de l'endroit où je posais les pieds pour ne pas faire craquer la moindre brindille sous mon poids. Ainsi, je pouvais profiter de la vision idyllique que m'offrit une biche et son faon en pleine leçon de vie. Je ne m'attardais pas néanmoins, ne voulant pas me faire intrusive dans leur petit instant intime, reprenant ainsi ma route jusqu'à l'endroit qui abritait les deux arbres sacrés.

Avant de me saisir de ma serpe, je leur adressait quelques mots, manifestant ainsi mon respect et mes remerciements les plus sincères. Ceci fait, je coupais quelques branches avec délicatesse, ne prenant que ce dont j'avais impérativement besoin. Il fallait agir avec agilité et minutie, afin de ne pas me blesser sur l'une des aiguilles aiguisées du houx. Les fruits ne me serviraient à rien, si ce n'est que pour protéger mon foyer des mauvais esprits, les feuilles et l'écorce, en revanche, avaient de multiples propriétés bienfaitrices pour le corps et l'esprit, nécessaire à tous druides et guérisseurs qui se respectent.

Lentement, je remplis ma besace avant de remercier les dieux de nouveau. Ceci fait, plus rien ne me retenait en ces lieux. Nul ne m'attendait chez moi ou ailleurs, j'étais donc libre de jouir de mon temps comme je l'entendais. Un peu plus loin, je trouvais un buisson de ronce sur lequel poussaient une multitude de mûre au teint délicieusement violet. J'en cueillis quelques unes avec la ferme attention de me régaler. Ma besace pleine, je les plaçais dans un pan de ma tunique sans me préoccuper des tâches écarlates occasionnées par les fruits parfois trop mûrs. J'allais ensuite m'installer sur un coussin de mousse et de feuilles pour me repaître de ce doux repas offert par Cernunnos lui-même.

Je profitais ainsi de cet instant de paix, savourant lentement chacun des fruits si merveilleusement sucrés, tout en écoutant les murmures de la forêt… Jusqu'à ce que l'un d'eux me paraisse bien différents des autres… Je me redressais légèrement, afin d'en saisir l'origine, veillant toutefois à rester particulièrement discrète. Je vis ainsi une silhouette approcher lentement… Un homme d'assez haute stature, visiblement peu habitué à ce genre d'environnement comme l'attestait sa façon de se mouvoir. Je fronçais légèrement les yeux pour discerner ses traits, l'intru se trouvant encore trop loin pour que je puisse l'identifier… Un elfe ? C'était du moins ce que la forme de ses oreilles semblait indiquer… Mais la couleur de sa peau si sombre à l'inverse de sa chevelure incroyablement claire me parurent bien étranges… Nul doute que celui-ci n'appartenait pas au peuple auquel j'étais habituée… Un elfe noir, donc ? Que viendrait-il faire par ici ? Se serait-il perdu ?

Sans bouger, je l'observais de loin, jaugeant son attitude… Il se dirigeait vers la lisière du bois, là où celui-ci semblait disparaître subitement au profit d'une gigantesque clairière lumineuse, là où les cerfs adoraient s'ébattre joyeusement. Je le vis fermer les yeux plusieurs fois, comme s'il était gênait par cette extraordinaire luminosité soudaine. Il chancelait alors, s'appuyant sur un arbre comme pour échapper à son malaise avant de se laisser glisser contre le tronc pour s'assoir à même le sol… Était-il malade ou bien blessé ?

Lentement, je m'extirpais de ma cachette pour me rendre à ses côtés afin de m'assurer de son état. Comme à mon habitude, j'avançais en silence pour ne pas éveiller la crainte d'une menace. Toutefois, je restais légèrement à distance, l'homme ou plutôt l'elfe était armé et le surprendre de trop près me semblait quelque peu suicidaire.

-Vous sentez-vous mal ? lui demandais-je avec une voix bienveillante attestant mon inquiétude tout à fait sincère.Seriez-vous blessé ?

J'attrapais la gourde accrochée à ma ceinture. Celle-ci contenait une infusion de diverses plantes à laquelle j'avais ajouté du miel. Oubliant souvent de me nourrir convenablement, je veillais toujours à garder ce genre de boisson sur moi afin de me préserver de quelques malaises. Je la lui montrais alors avant de la lui tendre.

-Buvez donc ceci, cela vous fera le plus grand bien. N'ayez crainte, ce n'est qu'une sorte d'hydromel légèrement relevé avec du thym, du romarin et d'aubépine.

La tête me tournait alors que je m'étais installé au pied d'un arbre pour reprendre mes esprits. Était ce encore les effets des poison que je m'administrai ?
C'était peu probable, car je connaissais bien les effets ... Non c'était autre chose. Mais alors que je m'étais focalisé sur mon état, je n'avais prêté garde à la présence qui se rapprocher de moi ,m'observant silencieusement.

Ce n'est qu'au moment où elle quitta ses fourrées que je pris la pleine conscience que je n'étais plus seul. Une jeune femme qui semblait sortit depuis peux de l'enfance se présenta à moi.
La forêt semblait être le lieu de prédilection des femmes humaines à en croire ma précédente rencontre avec Maeva. Celle-ci était différente, elle semblait moins civilisé voir sauvage à en regarder sa robe et son allure.

Même qu'elle soit femme ou pas je m'étais alors relevé posant ma main à l'arrière de mon dos pour saisir un de mes kukri. L'apparence pouvait être trompeuse ..
Et il n'était pas dit qu'on me prendrait en défaut même si je ne me sentais pas à cent-pour-cent de mes capacités ... Je sentais malgré tous que cette irruption, me permettait de me sentir mieux.
Etait-ce un mal de mon esprit encore in-accoutumer à ce monde ?

Je restais ainsi quelques secondes à la toiser ne sachant encore ce que cette humaine attendait exactement de cette rencontre qu'elle avait provoqué.
Celle-ci ouvre alors la bouche et je comprend vite que j'ai sûrement à faire à une femme comme Maeva ...

* Encore une femelle qui est en quête de secourir son prochain ? Comment cette espèce a-t-elle pu survivre jusque là si chacune d'elle tend la main à un danger potentiel? *

Je ne la quitte pas des yeux et reste silencieux alors que je relâche mon arme, pour laisser tomber au sol. Elle ne semblait pas représenter un grand danger.

* Cette forêt recelle-t-elle un peuple de femme en quête d'une âme a sauver ? C'est à ce demandé ce que font les chasseurs et les garnisons romaines dans les environs !!! *

Elle irradiait d'une aura similaire à celle de Maeva sans vraiment que je sache vraiment pourquoi.

" Non je ne suis pas blessé , juste un étourdissement dut à la fatigue sans doute .... "

Je n'avais pas l'intention de me faire passer pour faible aux yeux de la jeune humaine alors qu'elle me tend sa gourde.


Je la regarde elle, puis sa main qu'elle me tend. Ce n'était pas dans mes habitudes de faire confiance aussi facilement .

" Prenez la première gorgée et je vous accompagnerez ... "

J'attendais de voir sa réaction avant de m'aventurer à boire sa décoction.

" Qui etes vous ? Et Que fait une jeune femme seule dans ses bois ... ne craigniez-vous pas les bandits et romains ? "

De toute évidence, l'elfe à la peau sombre se méfiait de moi. Je le voyais à sa manière de me regarder en se redressant, portant ensuite sa main dans son dos, là où se trouvait son arme… Un instant, un seul, mon cœur cessa de battre, comme s'il se trouvait écrasé sous une poigne ferme faite de doutes… Allait-il m'attaquer ? Pourquoi ? Je ressemblait plus à un insecte facilement écrasable qu'à un féroce prédateur prêt à lui sauter à la gorge.

Non… Il ne me ferait rien, mais s'il laissait tomber les armes, ce n'était point le cas de sa méfiante toujours aussi évidente. Je lui tendis ma gourde de manière tout à fait naturelle, et pourtant, lui semblait croire que mon hydromel modifié devait être du poison puisqu'il me demanda de boire en premier… Drôle de requête… Craignait-il de se retrouver en face d'une empoisonneuse parcourant les bois en quête d'une victime ?

Je ne pus donc me retenir de sourire avant de me relever pour m'exécuter sans aucune hésitation… Je bus quelques gorgées avant de lui tendre de nouveau ma gourde, toujours le sourire aux lèvres.


-Je comprends l'intention, cela dit, si j'étais assez vile pour vous proposer du poison sans aucune raison, je le serais tout autant pour m'être immunisée au préalable, vous ne croyez pas ?

À lui de voir à présent, qu'il accepte mon aide ou non, cela tenait uniquement de son choix. Je ne pouvais rien de plus pour lui…

-Je me nomme Enora et je vis dans ces bois, je suis druidesse, malgré mon jeune âge et le fait qu'il me reste bien des choses à apprendre pour pouvoir me prétendre "sage", lui dis-je avant de réfléchir à ses autres questions, celles qui me paraissaient bien étrange. Non, je ne crains rien de tout ceci. Craindre reviendrait à vivre dans la peur et je trouverais cela rapidement insupportable. Alors puisque je n'ai aucun réel pouvoir sur mon avenir ou ma destinée, j'aime mieux ne pas me préoccuper de ce genre de futilités. N'est point épuisant de douter de tout et de se méfier de tout le monde ?

Je faisais bien évidemment référence à sa propre réaction à mon égard alors que j'étais seulement venue pour l'aider. Évidemment, je pouvais comprendre qu'en ce monde plein de dangers l'on puisse en venir à se méfier des inconnus. Beaucoup sont prêts à tout pour obtenir ce qu'ils veulent, quitte à blesser voir même à tuer leur victime seulement pour quelques pièces. Mais tout de même… Tout le monde n'est pas, du moins pour moi, à mettre dans le même panier. Il serait bien dommage d'en venir à juger une personne en se basant sur d'autres, probablement bien peu recommandables.

De plus, je n'ai jamais eu peur dans les bois, que ce soit de jour, comme de nuit. Je les connaissais comme le fond de ma besace. Je savais où poussait tel arbre ou tel buisson. Je savais où vivaient les animaux qui la peuplaient, ce qui attirait les ours ou bien les loups… Je savais que les humains n'étaient point aussi observateurs qu'ils pouvaient le croire et qu'il était aisé de se dissimuler à leur vue… En revanche, ce qui m'effrayait était bien ce que je ne connaissais pas… Comme le reste du monde, là où je n'avais encore jamais mis les pieds, seule, tout du moins. Mais en ces lieux, j'étais tout simplement chez moi, il s'agissait de ma maison, là où je pouvais errer pieds nus sans inquiétude.

-Ma présence ici n'a rien d'étrange, contrairement à la votre. Seriez-vous perdu ? Je peux vous guider jusqu'à la grand-route si vous le souhaitez.

Je m'étais redressée, époussetant légèrement le bas de ma robe déjà grandement usée par le traitement que je lui infligeais chaque jour.

-Quoi que vous avez dit être fatigué… Voulez-vous de quoi manger ? J'ai quelques mûres, ce n'est certes pas grand-chose, mais cela vous permettra au moins de regagner quelques forces… Elles non plus ne sont pas empoisonnées… Mais pour les manger sans crainte, il va vous falloir me croire sur parole… déclarais-je le plus sérieusement du monde avant d'éclater de rire.
Je vous ai dit mon nom , mais quel est donc le votre ?

Je reste silencieux alors qu' elle répond à ma méfiance avec une simplicité déconcertante.
Le sujet du poison était on ne peu plus vrai et j'en savais quelque chose pour tenter pour l'heure à faire mien ce type de résistance.

" Tu y connais quelques chose à la résistance aux poisons ? "

C'était un avantage indéniable pour ma profession, mais peu rependu malgré tous. Et à voir la jeune femme devant moi.
J'étais loin de la voir avoir ce type de compétences bien qu'elle en avait déjà conscience ce qui n'était pas un fait à mettre de côté malgré tous.

Je finis par prendre la gourde pour m'en servir, les humains semblaient bien à moins retord que notre peuple du moins pour le genre féminin. Ce qui était à l'opposé des nôtres.
Elle continue de se présenter alors que je finis de me désaltérer.

Ainsi c'était une druidesse que j'assimilai rapidement à une branche commune des dames blanches à voir sa manière d'être . Mais elle semblait plus sauvage de Maeva dans cette tenue délabrée.
Elle ne semblait avoir aucune considération pour les effets matériels de ce monde. Inconsciente et naïve à n'en pas douter malgré tous.
Enora n'aurait jamais su survivre dans notre monde.

" Épuisant, je dirais surtout que cela permet de vivre plus longtemps que d'aller à la rencontre des dangers en toute inconscience ... Enora es tu une sorte de dame blanche ? "

La jeune femme se tenait là tranquillement et je voyais bien qu'elle n'arborait aucun trait de méfiance de crainte ou d'appréhension.
Une biche qui semblait sans défense attendant qu'un loup vienne la cueillir.

"J'arpente les terres de la surface, j'ai encore tous à découvrir de votre monde ... "

Je regarde vers la plaine où je pense que la route se trouve. Je plisse les yeux avant de me reporter sur la jeune femme.
La lumière des plaines étaient encore bien trop vive pour moi.

" S'est surtout un village ou une ville que j'aimerais atteindre pour poursuivre mes recherches ... Et je ressens plus des étourdissements qu'une réelle fatigue ... Mais cela semble passer."

Je pose ma besace sur le sol près de moi pour l'ouvrir.

" J'ai ce qu'il faut .... "

Je sors un reste de pain rassi, un morceau de viande sèche et du fromage encore passablement comestible.
Je regarde malgré toutes les mures qu'elle me propose ne connaissant pas ce fruit.
Ne semblant pas être malveillante , tous comme moi mais pour des raisons évidentes que pour l'heure j'avais besoin d'en connaître le plus sur ce monde.
Et les informations étaient toujours plus simples à avoir en étant soit disant bienveillant. Après si cela ne suffisait pas la seconde méthode était toujours utile.

" Je n'ai pas trop le choix de toute manière ... j'ai beaucoup à apprendre de votre monde."

je tend en bon troc un morceau de mon pain que je venais de rompre.

" Je me nomme Sorn "