La vie au quotidien chez les elfes

 

La vie au quotidien

Les elfes se lèvent dès la première lueur de l’aube pour prier les Dieux, et ce, pendant deux heures. Étant des êtres très spirituels, ils accordent une attention toute particulière à leurs rituels religieux. Le jeune matinal est très important, tout comme la prière, les chants et la méditation. Tous sans exception considèrent comme un sacrilège l’oublie de ce rituel matinal. Une fois cela fait, ils vont s’affairer à leur occupation jusqu’au zénith puis ils vont se reposer pour manger leur premier repas de la journée.


 Les elfes chassent pour la fourrure et utiliser les os, mais ils ne mangent pas de viande, à l’exception des elfes noirs qui sont de grands carnivores. Les hauts elfes et les elfes communs préfèrent manger des fruits et des légumes, ainsi que des pains de seigle, accompagnés de fromage, de tartine aux noix et de cervoise fruitée. Pour la plupart, ils adorent se reposer collectivement, mais le repas du midi ne dure jamais longtemps, car ils ont à cœur leur travail. Ce n’est qu’à la tombée du jour qu’ils cessent leur ouvrage pour se rassembler dans la place commune pour diner et discuter. Ces soirées sont  très agréables, des mets délicieux sont partagés, de la musique est jouée et les elfes perdent toute réserve pour danser et rire. 


 Ce n’est qu’au début de la nuit que la communauté se calme un tant soit peu pour écouter des récits et des chants puis progressivement tous vont dormir chez eux, après avoir souhaité bonne nuit à leurs amis et aux membres de leurs familles.  En général, le mode de vie des elfes est basé sur l’importance d’un travail bien fait et un esprit communautaire paisible. Même les elfes noirs ne tolèrent aucune discorde entre eux, au risque d’être condamné à mort. Leur routine quotidienne est très semblable à celle des autres elfes, à l’exception que leurs soirées festives ressemblent à une bacchanale, fait de danses bestiales, de souleries et de sacrifices sanglants.  Pour ce qui est des saisons, les elfes suivent le même calendrier lunaire que les Celtes et ils célèbrent les mêmes fêtes, même si à l’origine, les elfes vénéraient des Dieux nordiques, mais ils ont été remplacés par ceux protégeant les terres celtes.  


0 à 20 ans

Les enfants, appelés elfions pour les garçons, et elfettes pour les filles, sont élevés dans l'endroit où ils sont nés et ils y restent jusqu’à l’âge adulte. Les elfes considèrent que le jeu est très important pour le développement de leurs enfants et c’est pourquoi les adultes privilégient l’apprentissage basé sur une pratique ludique, ce qui pousse les elfions à s’épanouir dans leurs talents respectifs. Ce n’est qu’au début de l’adolescence qu’ils trouvent chacun un maitre, selon la classe qu’ils ont choisi, afin de commencer un apprentissage les menant vers une profession qui servira leur société.  


20 à 40 ans

L’adolescence est une période critique pour les elfes et elle est souvent difficile. Non seulement ils sont à la recherche de leur identité, mais ils vivent une période de transition où ils doivent abandonnés leurs jeux d’enfant pour des pratiques plus sérieuses et disciplinaires. C’est durant cette période qu’ils vont approfondir leurs valeurs et à se spécialiser dans la voie qu’ils ont choisi. Il n’est pas rare d’en voir plusieurs devenirs des rôdeurs vers la fin de leur adolescence. 


40 ans à 60 ans

C’est à partir de quarante ans que les elfes sont considérés comme adulte. Terminant leur formation, ils s’exercent leur profession au sein de leur cité ou bien  ils décident de voyager. Cette période est très différente pour chaque individu, mais la plupart désir se marier, fonder une famille et devenir un maitre dans leur profession. 


60 ans à leur mort…

Gagnant en sagesse et en maturité, ils sont à présent des maitres et ils ont des novices à leur charge. Pour la plupart, ils ont vu leurs enfants grandir et ils sont restés avec le même partenaire de vie, même si les elfes peuvent en avoir plusieurs, selon les valeurs familiales. Or, s’ils ont été voyageurs dans leur jeunesse, beaucoup d’entre eux reviennent au bercail pour vivre une vieillesse et ils y meurent paisiblement.